Zemmour a tort, mais quand même pas sur tout.
L’auteur de La France n’a pas dit son dernier mot, ne souhaite pas qu’on s’appelle Idriss, Mohamed ou Sofiane si l’on veut être français. Sa charge est excessive. Mais un peu d’histoire permettra peut-être de nuancer les critiques qui visent le polémiste.
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Quand la France, dans les années 70, alla chercher, en Afrique du Nord, des immigrés pour ses usines, ils
