Accueil Édition Abonné Juré, craché, on ne parlera plus de “blanchité alimentaire” à Science-Po!

Juré, craché, on ne parlera plus de “blanchité alimentaire” à Science-Po!

Faites connaissance avec Mathilde Cohen, une éminente chercheuse qui trouve que la cuisine française est raciste


Juré, craché, on ne parlera plus de “blanchité alimentaire” à Science-Po!
Mathilde Cohen Photo: Capture d'écran YouTube

Les théories racialistes, très en vogue à gauche, embarrassent Science Po. Une bien mauvaise soupe !


La « blanchité » a encore frappé ! Il semblerait d’ailleurs qu’elle ne sache plus faire que ça… Et comme la liste des reproches n’était pas assez exhaustive encore ; on en a remis une bonne louche avec la « blanchité alimentaire ». Tout un programme !

Pollution américaine

Concept (s’il en est) défendu par une chercheuse du CNRS, Mathilde Cohen, qui a expliqué, dans le cadre d’un colloque organisé par Sciences Po Paris, que – attention – « les habitudes alimentaires sont façonnées par les normes des classes moyennes supérieures blanches » contribuant ainsi à « renforcer la blanchité comme identité raciale dominante ». Inutile de préciser que ladite chercheuse est également maître de conférences dans une université américaine, parce que ça ne s’invente pas.

À l’appui de deux proto arguments, elle affirme donc que le poisson le vendredi à la cantine, c’est mal ; et que le


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