La légèreté de la peine envoie un très mauvais signal. Une analyse de Jérôme Leroy, où il n’est pas impossible de trouver du second degré.
Ainsi, la scandaleuse agression dont a été victime le président Macron lors de son déplacement à Tain, par un ignoble individu du nom de Damien Tarel qui a eu néanmoins le sens de la formule, « Montjoie Saint-Denis, à bas la Macronie » a été l’objet d’une comparution immédiate dont le jugement est tombé : dix-huit mois de prison, dont quatre ferme, avec mandat de dépôt. On dirait ces peines ridicules qui frappaient au petit bonheur la chance les Gilets jaunes factieux en 2018-2019. Rien qui ne puisse se
