Zoom sur ces féministes qui conspuent sur Twitter celles qui, victimes de sexisme, n’ont pas utilisé leurs codes…
Décrire les réseaux sociaux comme une jungle est devenu un poncif. Prédateurs, proies et charognards y chassent les déviants au sein de leur propre tribu. Ainsi, certaines féministes imposent une codification stricte des témoignages victimaires fleurissant sur Twitter et Facebook. Pour préserver les âmes sensibles, les plus radicales enjoignent à leurs petites camarades d’utiliser les abréviations
