Le confinement aura eu le mérite non négligeable de ralentir la marche effrénée du progrès en nous épargnant la tenue d’événements comme l’emballage de l’arc de triomphe ou le festival « Turn Ovaires » consacré au « cyclo-féminisme ».
La guerre contre le coronavirus – de loin celle que je préfère – n’est pas encore gagnée. Les soignants soignent. Les pangolins se marrent. Les grognards du confinement, en short, applaudissent à tout rompre chaque soir à 20 heures, et appellent la gendarmerie à 20 h 05 pour régler quelques conflits de voisinage à coups de
