L’ouvreuse répond aux questions de Causeur sur l’exfiltration rocambolesque (et mélomane) de notre Carlos Ghosn international.
Carlos Ghosn ne doit pas avoir le triomphe modeste.
Sa fuite du Japon vers le Liban relève du grand art et prouve, en ces temps de déglingue générale, qu’il y a encore des gens qui savent bien faire leur boulot. C’est rassurant. Et même si nous ne savons rien ou pas grand-chose du déroulé précis de son exfiltration (hormis la « malle géante » des barbouzes-musiciennes et les 3 ou 5 millions de dollars que lui a coûté cet aller simple), cet événement a le mérite d’insuffler un peu de superbe dans une actualité très petite-bourgeoise. Il met surtout un coup de projecteur sur ces professionnels de l’évasion internationale, sur ces transporteurs
