Accueil Culture « Qu’un sang impur… », un « Apocalypse now » revanchard et raté

« Qu’un sang impur… », un « Apocalypse now » revanchard et raté

Un film maladroit qui entretient le ressentiment sur la guerre d'Algérie


« Qu’un sang impur… », un « Apocalypse now » revanchard et raté
"Qu'un sang impur..." © Maris Films

Qu’un sans impur… d’Abdel Raouf Dafri, en salles le 22 janvier 2020.


« Il a la carte », comme aurait dit Jean Rochefort. Cette carte, Abdel Raouf Dafri l’a depuis son entrée dans la carrière, où il fut le coscénariste du film de Jacques Audiard, Le Prophète. Un statut d’intouchable ou presque. Même si depuis lors (dix ans déjà…), sa filmographie ne s’est guère étoffée, à une exception près. En ce début d’année, il signe son grand retour sur grand écran avec sa première réalisation intitulée Qu’un sang impur…. Un titre, une affiche également : un homme, le visage masqué, presque étouffé, par le drapeau français, chemise militaire et crucifix bien en vue autour du cou et Ray-Ban de rigueur dépassant de la pochette… Le poids des mots et le choc de la photo d’entrée de jeu : clichés de fond et de forme, tout y est. Le spectacle peut commencer.


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Janvier 2020 - Causeur #75

Article extrait du Magazine Causeur




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Critique de cinéma. Il propose la rubrique "Tant qu'il y aura des films" chaque mois, dans le magazine

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