La privatisation de la Française des jeux ne va pas traîner. « Chaque jour est une chance », dit la réclame. Pas pour les Français qui vont céder au privé le numéro quatre mondial du secteur.
Si la privatisation d’Aéroports de Paris alimente les plus vifs débats, c’est celle de la Française des jeux (FDJ) qui interviendra en premier. Il n’y a pas de hasard : Stéphane Pallez, l’actuelle énarque patronne de la société, a déjà mené les privatisations d’Air France, de Thomson ou du Gan. Bruno Le Maire a confirmé début septembre à la radio que l’opération est prévue « sans doute d’ici la fin du
