Violence dans les rues et calme dans les amphithéâtres, la mobilisation nantaise est forte en images, mais pauvre en troupes.
Toutes les conditions étaient réunies pour que les luttes convergent à Nantes. Le mouvement de contestation étudiante a démarré alors que l’expulsion de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes n’était pas achevée. Par ailleurs, les occupations de locaux universitaires en faveur des sans-papiers ont démarré ici dès novembre 2017, à l’initiative de l’UNEF et du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA).
