La mobilisation était faible, en avril, dans la grande université du nord de Paris, berceau d’une amusante « Internationale islamo-situationniste ».
En ce début d’avril, la faculté de 22 045 étudiants est bien vide. Le piquet de grève à l’entrée n’est ni hostile ni véritablement filtrant. Quelques jeunes gens errent dans les couloirs. Des vigiles patrouillent nonchalamment. Une AG se tient au fond du département cinéma. Surprise, les participants y évoquent de façon rationnelle
