L’assassinat de Sarah Halimi pendant l’entre-deux-tours de la dernière élection présidentielle a longtemps été considéré comme l’acte d’un déséquilibré. Brisant l’omerta, la journaliste Noémie Halioua établit le caractère antisémite de ce crime islamiste. La justice vient de lui donner raison.
En juin 2017, Noémie Halioua, journaliste à l’hebdomadaire Actualités juives, exposait sur le site Causeur.fr les premiers résultats de son enquête sur le meurtre de Sarah Halimi, une juive orthodoxe de 65 ans, torturée et défenestrée de son appartement du 11e arrondissement de Paris dans la nuit du 4 au 5 avril 2017. Son assassin est un voisin, Kobili Traoré, un Franco-Malien de 27 ans, petit délinquant multirécidiviste, toxicomane, fréquentant régulièrement la mosquée voisine de tendance salafiste de la rue Jean-Pierre-Timbaud.
Ouf ! c’est un dingue,
