Je n’ai jamais vraiment été un grand amateur de Charlie Hebdo. Je jetais bien un coup d’œil de temps à autre aux cochoncetés de Vuillemin, Wolinski ou Tignous, mais Charlie Hebdo n’était guère plus pour moi qu’un élément du décor urbain avec ses couvertures salingues qui vous sautaient parfois à la figure au détour d’une rue ou sur un kiosque à journaux.
Au-delà du hashtag
Le 7 janvier, j’ai découvert que celui-ci comptait d’autant plus pour moi que deux sociopathes l’ont
