Globalisation oblige, la Chine s’est trouvée obligée depuis quelques années de recourir aux pancartes bilingues pour guider et informer touristes et businessmen aux quatre coins du pays. Mais l’ignorance qu’ont les Chinois de l’anglais a provoqué un phénomène philologique inédit qui fait les délices des internautes. Pour se faire comprendre au restaurant, sur les routes, dans les aéroports ou les hôtels, les Chinois s’en sont remis avec une confiance aveugle au globish approximatif, à la traduction automatisée hasardeuse, à la retranscription littérale
