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Sur un air de pubs pour bagnoles


Sur un air de pubs pour bagnoles
Crédit photo : Soleil

Plus que le critique, le comédien, le musicien et le danseur, c’est l’ouvreuse qui passe sa vie dans les salles de spectacle. Laissons donc sa petite lampe éclairer notre lanterne !


Boléro gipsy, écran total, mon vieux plaid contre le mistral. Valise bouclée. À nous Avignon, Aix, Orange, festivals de nos amours ! Rien à dire de la saison finissante à Paris. Tout raté, bicause trousseau. Moi qui raffole des histoires de souillon changée en princesse, j’aurai même pas vu ni la Cendrillon de Joël Pommerat porte Saint-Martin ni celle de Rossini sauce Guillaume Gallienne à Garnier.

À la place, on vous résumerait bien les drames et les ballets de la télé. Mais même là, le retour manqué de la vengeance du petit Grégory et le retour de la vengeance manquée du grand Bayrou, que voulez-vous qu’on en tire ? Du


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Été 2017 - #48

Article extrait du Magazine Causeur




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