
« Cette attitude absurde consistant à considérer les alliés anglo-américains et l’Allemagne nazie comme deux ennemis de la classe ouvrière qui se valent entraîne donc les trotskistes à ne pas prendre position dans cette guerre contre l’occupant nazi, en dehors de rares exceptions entrées dans la Résistance. Et avec le fameux “Ils se valent” publié en juin 1944 par le journal La Vérité (alors que les alliés viennent de débarquer en Normandie pour libérer l’Europe), ils ne font que confirmer qu’ils estiment que Roosevelt et Hitler se valent. » Simon Epstein – Historien
Après la bataille, je tiens à remercier les « Insoumis », grâce à qui j’ai découvert l’amour des hommes.
À l’occasion de la publication d’une vidéo sur Facebook dans laquelle Éliette Abécassis demandait à Jean-Luc Mélenchon pourquoi il lui était si difficile de nommer le mal qui avait frappé Charlie Hebdo et l’Hyper cacher, quel était le calcul qui lui faisait préférer « crétins sanglants » à « terroristes islamistes », j’ai eu l’immense privilège de découvrir la vague de haine effarante qui portait une partie de l’électorat insoumis : injures, obsession anti-israélienne ou directement antijuive, et parfois inculture crasse rendant difficile la lecture de leurs messages. Ces futurs kapos impatients d’exercer leurs talents de commissaires politiques de la pensée m’ont donné envie de vous faire profiter de leurs bienfaits. Vous trouverez dans les dialogues enrichissants qui vont suivre les différentes typologies de l’Insoumis, dont le point commun
